Dès le XVIIe siècle les édiles nîmois sont intervenus pour la sauvegarde des vestiges romains.
Quant aux arènes, qui ont tour à tour servi de forteresse, de quartier d’habitation,
voire de carrière à ciel ouvert, c’est à la fin du XVIIIe siècle qu’elles commencent à être perçues comme un monument,
soit un lieu qu’il convient de conserver pour sa beauté et son statut de témoignage du passé.
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